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Un Maître se promenait avec un disciple. En chemin, il lui désigna une plante et lui demanda s'il en connaissait le nom.
- La belladone, répondit le disciple. Elle peut tuer celui qui en mange les feuilles.
-Oui, mais elle ne peut tuer celui qui se contente de l'observer, réliqua le Maître.
De même les désirs négatifs ne peuvent causer aucun mal si vous ne vous laissez pas séduire par eux.

c'est l'importance que l'on donne à la pensée négative qui peut nous nuire... l'observation la laisse passer.
 

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L'AMOUR...

OM NAMO BAGHAVATE VASU DEVAYA




Quand je parlerais les langues des hommes et des anges,
si je n’ai pas l’amour,
je suis du bronze qui résonne ou une cymbale qui retentit.

Quand j’aurais le don de prophétie,
la science de tous les mystères
et toute la connaissance
quand j’aurais même toute la foi
jusqu’à transporter des montagnes,
si je n’ai pas l’amour,
je ne suis rien.


Et quand je distribuerais tous mes biens pour la nourriture des pauvres,
 quand je livrerais même mon corps pour être brûlé,
 si je n’ai pas l’amour,
cela ne me sert à rien.

L’amour est patient, l’amour est serviable, il n’est pas envieux ;
 l’amour ne se vante pas,
il ne s’enfle pas d’orgueil,
il ne fait rien de malhonnête,
il ne cherche pas son intérêt,
 il ne s’irrite pas, il ne médite pas le mal,
il ne se réjouit pas de l’injustice, mais il se réjouit de la vérité,
 il pardonne tout, il croit tout, il espère tout,
il supporte tout.

L’amour ne succombe jamais.
Que ce soient les prophéties, elles seront abolies ;
les langues, elles cesseront ; la connaissance, elle sera abolie.
 Car c’est partiellement que nous prophétisons ;
mais quand ce qui est parfait sera venu, ce qui est partiel sera aboli.

 trois choses demeurent :
la foi, l’espérance, l’amour ;
 mais la plus grande, c’est l’amour.

Recherchez l’amour

29 janvier 2007 1 29 /01 /janvier /2007 16:39

Livre VII, du Grand Arcane d'Eliphas Lévi :Eliphas Lévi (1805 - 1875), rénovateur de l’occultisme en France, a sondé tout au long de sa vie les mystères de la nature humaine.

LE POUVOIR QUI CREE ET QUI TRANSFORME

La volonté est essentiellement réalisatrice,
 nous pouvons tout ce que nous

croyons raisonnablement pouvoir.
Dans sa sphère d'action l'homme dispose de

la toute puissance de Dieu ;
 il peut créer et transformer.
Cette puissance,

il doit d'abord l'exercer sur lui-même.
 Lorsqu'il vient au monde, ses

facultés sont un chaos, les ténèbres de l'intelligence
couvrent l'abime de

son coeur,
et son esprit est balancé sur l'incertitude
comme s'il était porté

sur les ondes.
La raison alors lui est donnée, mais cette raison est passive

encore, c'est à lui de la rendre active ;
 c'est à lui de faire rayonner son

front au milieu des ondes et de crier :
 que la lumière soit !


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29 janvier 2007 1 29 /01 /janvier /2007 10:27
MALGRÉ MES IMPERFECTIONS

Malgré nos imperfections et parfois même nos défauts, nous avons tous quelque chose d’unique à transmettre et à exprimer dans le monde. Être conscient de nos apports nous aide à les faire grandir

L’affection n’est pas de la contemplation : les personnes que j’aime, je leur veux du bien.
 Que puis-je leur apporter? Ma présence régulière et mon soutien, c’est déjà beaucoup, certes.
 Mais peut-être aussi puis-je aller plus loin? En leur disant davantage mon affection, par des paroles simples, plutôt qu’en la montrant ou en supposant qu’elle leur est évidente.
En leur proposant mon aide pour leurs petits et grands problèmes
. Pourquoi d’ailleurs ne pas leur demander régulièrement : “Que puis-je faire de plus pour Toi?”


(tiré : "petites listes" Aditi)


Trop souvent, nous avons un trop grand idéal de ce que nous "souhaiterions" être et ceci est un frein au partage.  Si nous pensons que nous ne sommes pas dignes de...  parce que nous avons encore du chemin à faire, nous n'osons pas aller de l'avant... Or, la vie c'est aller de l'avant... et nous sommes tous le Maître de quelqu'un (comme me le faisait remarquer le mien au tout début de mon chemin).
Soyons persuadés que nous avons tous un trésor à partager, notre expérience et notre désir d'aimer et d'être aimé.
Nous avons tendance à nous extasier devant quelqu'un qui "réussit" financièrement ou autre dans la vie, au point que parfois nous trouvons des excuses à ses erreurs, considérant cette personne comme plus "grande" que nous... ou bien nous allons être horrifiés à la pensée qu'une telle personne puisse avoir plus que nous, etc...  d'une part nous nous déprécions et de l'autre nous sommes jaloux...  Ce ne sont sûrement pas ces "qualités négatives" qui nous feront grandir.

Chacun a ce qu'il mérite ou ce qui va le faire avancer lui-même ou même cela peut être une pierre d'achoppement, qu'en savons-nous?
 
Le jugement ne fait du mal qu'à celui qui juge...

C'est devant cette "illusion" qu'il faut s'élever... Ce monde est fait de toutes sortes de gens et d'espèces, chaque événement a sa place dans notre vie...




Être nous-mêmes, tout simplement...

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17 janvier 2007 3 17 /01 /janvier /2007 18:39
La réalité à laquelle nous nous éveillons est sans feu d'artifice, elle est humble, plus qu'un homme ne peut l'être. Il n'existe pas de pouvoir particulier autre que celui de l'Amour ( qui est une disponibilité absolue à la Vie.)

La «compagnie du sage» a lieu en nous. Celui-ci n'est pas responsable de ce que nous vivons à son contact parce qu'il n'a aucun pouvoir. Simplement, en cet instant, nous nous autorisons un Abandon qui semble demander beaucoup de travail hors de cette rencontre. La compagnie du sage est une compagnie avec soi qui, par un détour mental, nous semble possible dans cette situation-là. Par conséquent, nous pouvons dire au revoir au sage et à sa compagnie apaisante, du moins en tant que passage obligé ou ingrédient essentiel de l'éveil.


"A Méditer"...
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14 janvier 2007 7 14 /01 /janvier /2007 07:42






Les caractéristiques du « caméléon » est de changer de couleur suivant son humeur, son mimétisme lui permet de se fondre dans son environnement s’il pressent un danger… ainsi le caméléon a le pouvoir de ne pas « faire de vague »… en s’adaptant…

Comment peut-on prendre soin de soi lorsque l’on ne veut pas faire de vague ?  et pourquoi ne veut-on pas faire de vague ?

Faire des vagues signifie donner son avis, même s’il est contraire à celui des autres, c’est communiquer, c’est avancer…

Ce personnage caméléon partage toujours ou presque l'avis des  personnes qui l’apostrophent… Il peut être bouddhistes, face à un bouddhiste, ou tout autre religion ou philosophie. Il peut être un salaud ou un être pur suivant devant qui il se trouve… Il renie aujourd’hui ce qu’il a adoré hier… Tout ça pour « paraître » comme l’autre le veut…
Est-il heureux ?  quelques fois oui quand il s’imagine être aimé pour
« ces » qualités (c’est à dire se taire, être toujours d’accord avec son vis à vis) , mais il étouffe son désir profond…
Sa réflexion est : comment oser dire ce que je veux réellement ? Comment être tout simplement moi-même ? Quelle va être la réaction de l’autre face à moi si j’exprime ce que je ressens ou pense ?  souvent il préfère se persuader qu’il est dans le droit chemin.

Le caméléon finit toujours par être démasqué.  Il a parlé à certains d’une certaine manière et à l’autre d’une autre… Que faire quand « ces personnes » se retrouvent ensemble ? Il a dit telle chose à l’un, le contraire à l’autre… Alors le caméléon adopte l’attitude de repli, il se tait laissant planer le doute, il n’élève jamais la voix, il est d’apparence doux, docile, sauf que le feu que dis-je le volcan bout sous la glace… Il va développer de l’eczéma ou autres maladies de peau, le plus souvent.

Comment faire comprendre à ce triste personnage qu’il rate sa vie… qu’il vit par procuration, à travers le désir de l’autre ?

car celui qui était bon hier est aujourd’hui un moins que rien… Lorsque l’interlocuteur  change, les paroles changent, les sentiments aussi…

Celui qui fait le caméléon est un être très malheureux, alors, il se cache derrière l’autre et fait semblant d’être heureux…  C’est la proie idéale du manipulateur.

Ce mimétisme lui permet donc de se fondre dans son environnement, c’est un « animal » de l’ombre, invisible et dissimulateur.
Dans le cas d’une personne, il est toujours à l’ombre de quelqu’un comme si la vie c’était cela… Rester dans l’ombre sans jamais s’affirmer, sans jamais grandir, toujours être d’accord avec, toujours dire oui même s’il pense non.

Seul, devient grand celui qui affronte la vie et ses responsabilités…

Ce personnage s’imagine être aimé pour lui, c’est là son erreur, il est 
« aimé » parce qu’il correspond au désir de l’autre et non pour lui-même, il n’est en fait que le jouet de l’autre… démasqué il est rejeté…

Le caméléon ne peut jamais être sincère, c’est donc un menteur (donnons lui quelques excuses "par omission")  n’est-il pas quelque peu manipulateur?
La peur paralyse ce caméléon…

  Espérons qu’un jour, il adoptera son bon côté, car légendairement le caméléon a des dons cachés, il lui suffit d’avoir le courage de faire face à la vie, d’affronter les autres... mais aura-t-il le courage d'aller vers son destin?


Finissons sur une note plus positive et sympathique.
Le caméléon est aussi le messager des Dieux.
Une légende camerounaise illustre parfaitement cette ambivalence. Dieu aurait à l'origine envoyé deux messagers, un lézard et un caméléon. Le lézard porterait aux hommes la nouvelle de la mort sans retour et le caméléon celle de la résurrection – le premier arrivé déterminant par là même le destin futur des êtres vivants.
Mais le lézard trompa le caméléon, en lui recommandant d'aller lentement pour ne pas ébranler le monde sous le bruit de ses pas.
Inquiet, docile, le caméléon ralentit sa marche et arriva bon dernier. Messager de la lumière, porteur de bonnes nouvelles, il est aussi celui dont l'humilité suscite la discrétion.
 Le caméléon est affublé d'une queue préhensible, signe d'habileté ; son oeil mobile est tour à tour symbole de prudence et de savoir.

À TOUS LES CAMELEONS DU MONDE « deviens –TOI »
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14 janvier 2007 7 14 /01 /janvier /2007 06:28


Comme les figuiers sur les chemins, comme les peupliers qui se mirent ensemble dans la rivière, comme les amandiers de la vallée d’Abdalajis lorsqu’ils s’habillent de blanc au printemps, comme les couchers de soleil, ainsi est la quiétude du Maître.

Des parents qui venaient avec leurs enfants, lui demandèrent :
« Parle-nous des enfants. »
Lui s’assit à l’ombre des peupliers au détour du chemin, puis les invita tous à s’asseoir et leur dit :

« Les enfants sont l’espoir matérialisé d’une nouvelle génération. Ils sont la nouvelle impulsion des générations pour grimper plus haut dans l’Evolution. Ils sont comme les fleurs précoces qui cherchent dans l’allégresse le chemin vers le Soleil, fait de sincérité et de tendresse.
Comme le lierre attend l’humidité du soir, ils guettent la compréhension.

L’enfant est une graine que les mains des parents doivent semer avec tendresse dans la terre des circonstances, sans lui retirer l’aliment de
« l’explication ».


Je vous dirai :

« Apprenez à être les frères en âge de vos enfants ; ils vous enseigneront un monde qui s’est endormi en vous car vous n’avez su le retenir. Ils ne peuvent grimper jusqu’à vous, mais vous pouvez descendre jusqu’à eux pour les aider à fleurir. Avec quelle délicatesse prendrez-vous soin du jardin de leurs sentiments pour qu’ils ne se fanent pas ? Avec quelle attention serez-vous leur haleine sans les étouffer !

Un homme, n’est-il pas l’éducation d’un enfant ? Combien d’hommes existent chez qui « l’éducation » tua l’enfant ! Combien baillonnent chaque jour la bouche de leur enfant intérieur, puis donnent la main à l’hypocrisie et ses amies mensonge et apparence ?

L’éducation n’est-elle pas devenue la science d’apprendre à feindre ?

Ainsi l’homme, arrivé à un certain âge, possède un peu de tout sauf de lui-même. Cela génère un monde extérieur factice et apparent, empreint de formalismes et de complexes, à l’opposé du Naturel.

La mère-fleur fécondée par le pollen, se sacrifie, s’effeuille et se fane pour donner le fuit, son enfant ; elle fait tout cela dans le silence de son cœur. Ainsi la mère doit-elle se sacrifier pour ses enfants et les conduire sur le chemin de l’aube avec la tendresse et la chaleur qu’elle seule peut leur donner.

Toute civilisation commence à décliner quand la femme oublie qu’elle est Mère. Les générations qui naîtront d’elle ne seront plus équilibrées et les fruits que son ventre apportera, quelle protection trouveront-ils ? »

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9 janvier 2007 2 09 /01 /janvier /2007 10:12
Un vieil homme fragile s'en alla demeurer avec son fils, sa belle-fille, et son petit-fils de quatre ans.
 Les mains du vieil homme tremblaient, sa vue était embrouillée et sa démarche chancelante. La famille était attablée ensemble pour le repas. Mais la main tremblante de grand-père et sa mauvaise vue rendait le repas peu agréable. Les pois roulaient par terre, lorsqu'il prenait son verre, le lait se renversait sur la nappe.
Ce qui vint à tomber sur les nerfs du fils et de la belle-fille."On doit faire quelque chose avec grand-père" dit le fils. ?Nous en avons assez du lait renversé, des bruits lorsqu'il mange et de ramasser la nourriture sur le plancher"
Alors, le fils et sa femme montèrent une petite table dans le coin. C'est là que grand-père ira manger pendant que le reste de la famille sera à la grande table. De plus, puisque que grand-père a cassé quelques assiettes, dorénavant il mangera dans un bol en bois.
Lorsque la famille regardait dans le coin, quelques fois ils pouvaient voir une larme sur les joues de grand-père qui était assis tout seul. En dépit de cela, les seuls mots que le couple avaient pour grand-père exprimaient la colère et les reproches lorsqu'il faisait tomber une fourchette ou renversait sa nourriture par terre.
Le jeune de quatre ans regardait tout cela en silence. Un soir avant le souper, le père remarqua son fils qui jouait dans son atelier et il nota des copeaux de bois sur le plancher.
 Il demanda gentiment: "Qu'es-tu en train de fabriquer?"
Aussi gentiment le fils répondit: "Ah! je fais un bol en bois pour toi et maman pour manger lorsque je serai grand!"
Les parents furent tellement surpris par ces paroles qu'ils étaient incapables de parler. Et puis, quelques larmes coulèrent sur leurs joues. Ils ne disaient rien, mais ils savaient quoi faire. Ce soir-là, le fils pris grand-père par la main et l'amena gentiment à la table familiale. ?Pour le reste de ces jours, il mangea ses repas avec la famille et le fils et sa femme ne se troublaient plus lorsque grand-père laissait échappé une fourchette, renversait son lait ou salissait la nappe.?



       Une belle leçon d'amour... les adultes oublient trop souvent qu'un jour ils seront (peut-être) vieux... 
          Les vieux sont relégués au second plan, ils dérangent souvent... leur présence est ressentie comme un poids, comme une "obligation"...
Combien de fois font-ils répéter la même chose, ils ne se souviennent plus ou n'ont pas compris...
          L'impatience de leurs enfants est alors ressentie comme une blessure d'amour d'où s'écoulent des larmes silencieuses car elles ne sortent pas de leur coeur et si parfois elles coulent sur leurs joues c'est quand ils sont seuls... leur douleur est immense... ils savent qu'ils n'ont plus les capacités d'autrefois, ils savent qu'ils sont moins agiles, moins rapides...
          Lorsque Siddartha sortit de son palais, il vit la vieillesse, la maladie, la souffrance...  Il quitta tout pour méditer et comprendre pourquoi?    Si nous avons la chance de vieillir, nous aussi nous serons comme eux... faisons preuve de compassion, ne les oublions pas, ne pensons pas qu'ils sont un boulet qu'il faut trainer....

          Certaines personnes se targuent d'aimer... et cependant ils n'aiment pas leurs parents, leur famille... est-ce aimer?  si l'amour est conditionné alors ce n'est pas de l'amour, c'est simplement un plaisir que nous partageons avec autrui... jusqu'à ce qu'il nous déçoive.

          Essayez juste de vous souvenir que vos parents (en principe) ont passé une partie de leur temps, de leur jeunesse à vous élever, leur  sommeil a souvent été entrecoupé pour vous veiller lorsque vous étiez malades... ils vous ont bercé, ils vous ont fait de gros calins lorsque vous en aviez besoin... combien d'années vous ont-ils consacrées?  et ne prennent-ils pas toujours soin de vous aujourd'hui, même si vous êtes mariés, ne gardent-ils pas vos enfants quand vous désirez sortir pour vous amuser?
       Penchez-vous un instant sur leur vie... leurs souffrances passées, ont-ils la possibilité de sortir, de s'amuser encore...
      
       Soyez patients avec eux... grands-parents et parents sont notre patrimoine... ce sont eux qui nous ont formés...

ps : Il y a bien sur des exceptions... alors demandez-vous seulement: comment ça se fait... ont-ils pu faire autrement?  nous pensons toujours que oui...  parce que nous ne sommes pas à leur place...

ET PUIS...

vous avez des enfants?...    êtes-vous certain de bien les éduquer, de leur donner exactement ce dont ils ont besoin?  Ce que vous donnez n'est que le résultat de votre pensée... pas forcément ce qui est le meilleur pour votre enfant...   et quand la vieillesse passera sur vous, auront-ils de l'indulgence pour ce que vous avez fait?...

Apprenez-leur à donner sans condition... apprenez-leur à aimer sans condition... apprenez-leur à vivre en société sans condition...  à devenir eux-mêmes et non votre clone...  Ne projetez pas sur eux vos ambitions, vos désirs...  donnez-leur juste la possibilité d'ÊTRE...

Un sage a dit : SOIS CE QUE TU ES ...   ce que nous sommes nous ne pouvons le découvrir qu'à travers la méditation, ce que nous sommes n'est pas quantifiable... ce que nous sommes c'est cette "intelligence créatrice" et non notre savoir... appris dans les livres choisis par nous... c'est à dire à travers notre désir de "culture" falsifiée puisque que c'est sur des livres que nous l'apprenons...  





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4 janvier 2007 4 04 /01 /janvier /2007 08:39


 La béatitude se situe au-delà de toute compréhension, elle est très difficile à atteindre. Ce n’est qu’après des vies et des vies que l’on  réussit finalement à y accéder ; cependant, une fois que vous y êtes parvenu, il est encore plus difficile de la perdre ! Tout ce que vous recherchez en fait dans la vie est cette béatitude, cette union divine avec votre source, mais tout dans le  monde  vous détourne de cet objectif. Mille et une choses vous distraient de votre but, de mille façons différentes ! Il existe hélas tant de manières inexplicables et incompréhensibles de ne pas ‘rentrer chez soi’ !

Le mental se nourrit de désirs et d’aversions. Ce n’est que lorsque le mental meurt que la béatitude peut naître. La béatitude est la demeure de toutes les Divinités, de tous les Devas. (esprits divins).  Ce n’est que dans un corps humain que vous pouvez l’appréhender, la conserver. Si, alors que vous avez reçu  une vie humaine et eu accès à cet enseignement vous n’y parvenez pas toujours pas, vous serez passé à côté de l’essentiel !

Les désirs et les aversions durcissent votre cœur. Rien ne sert d’observer les règles de la politesse  si vous avez le cœur dur ; si vos manières laissent à désirer, on peut le tolérer, mais la sécheresse de cœur est inadmissible. Le monde ne se préoccupe pas de savoir ce que vous êtes intérieurement, il ne considère que la façade. Le Divin lui se moque des apparences, Il ne regarde que votre  cœur. Ne permettez jamais à la moindre pointe de dédain ou de désir de se loger en votre cœur. Que celui-ci soit pur, doux et parfumé comme une rose.

Voilà la plus grande illusion – ne pas aimer quelqu’un ou quelque chose -  car cela ne fait que vous rendre dur, et cette dureté met longtemps à s’adoucir, à disparaître. Les désirs et les aversions sont les pièges qui vous empêchent de découvrir le trésor.

Rien dans ce monde matériel ne peut vous apporter le contentement. Un esprit tourné vers le monde extérieur qui recherche la satisfaction ne peut qu’être déçu, son mécontentement augmente, et les récriminations et la négativité qui s’ensuivent  ne font que durcir l’intellect, obscurcir la conscience et former un nuage de négativité. Quand cette négativité est à son comble, comme un ballon trop gonflé, elle éclate et retourne au Divin.
Vous ne pouvez jamais échapper au Divin, que ce soit par le long cheminement de la négativité, ou par l’approche positive instantanée. Quand le Divin naît en vous, en un clin d’œil, vous passez de la non-vérité à la vérité, des ténèbres à la lumière et de la matière morne et inerte à l’esprit pétillant de vie.


SRI SRI RAVI SHANKAR

MÂ ANANDAMAYI...  dans un moment de Béatitude... enfin, façon de parler, car Elle était toujours en Béatitude... 


REGARD DE L'AMOUR... BEATITUDE  Je pourrais mettre bien d'autres regards remplis d'Amour inconditionnel...
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29 décembre 2006 5 29 /12 /décembre /2006 16:55
Une pluie d'amour pour 2007
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23 décembre 2006 6 23 /12 /décembre /2006 17:29
JOYEUX NOEL À TOUS...
 QUE LA PAIX SOIT DANS VOS COEURS
 ET LA JOIE DANS VOTRE VIE...
QUE L'AMOUR  UNISSE TOUS LES ÊTRES...
QUE LA VIE VOUS SOIT DOUCE

et même si c'est un rêve...
Rêvons mes amis, rêvons à un monde meilleur
Ceux qui ne rêvent pas sont déjà morts...
Et nos rêves peuvent être la réalité de Demain...

et puis, vous savez, c'est mon anniversaire!!!
(le 25)
c'est sans doute pour ça, que je crois toujours
au miracle de l'Amour...

Faisons, en cette nuit de Noël
un égrégore d'Amour en
unissant nos prières...
des milliers de prières pour un seul but...

Aimons-nous les uns les autres....

Aditi

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15 décembre 2006 5 15 /12 /décembre /2006 18:26
je suis venue sur l'ordinateur de ma petite fille pour vous dire que :

mon ordinateur a été infecté gravement, le disque dur est hs

Je ne sais pas s'il est réparable, ni quand il le sera... je passerai de temps en temps pour mettre des articles mais ce ne sera pas tous les jours...

En attendant, il y a de quoi lire ...

Amitiés à tous ceux qui passent
A très bientot...

Aditi
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