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Un Maître se promenait avec un disciple. En chemin, il lui désigna une plante et lui demanda s'il en connaissait le nom.
- La belladone, répondit le disciple. Elle peut tuer celui qui en mange les feuilles.
-Oui, mais elle ne peut tuer celui qui se contente de l'observer, réliqua le Maître.
De même les désirs négatifs ne peuvent causer aucun mal si vous ne vous laissez pas séduire par eux.

c'est l'importance que l'on donne à la pensée négative qui peut nous nuire... l'observation la laisse passer.
 

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L'AMOUR...

OM NAMO BAGHAVATE VASU DEVAYA




Quand je parlerais les langues des hommes et des anges,
si je n’ai pas l’amour,
je suis du bronze qui résonne ou une cymbale qui retentit.

Quand j’aurais le don de prophétie,
la science de tous les mystères
et toute la connaissance
quand j’aurais même toute la foi
jusqu’à transporter des montagnes,
si je n’ai pas l’amour,
je ne suis rien.


Et quand je distribuerais tous mes biens pour la nourriture des pauvres,
 quand je livrerais même mon corps pour être brûlé,
 si je n’ai pas l’amour,
cela ne me sert à rien.

L’amour est patient, l’amour est serviable, il n’est pas envieux ;
 l’amour ne se vante pas,
il ne s’enfle pas d’orgueil,
il ne fait rien de malhonnête,
il ne cherche pas son intérêt,
 il ne s’irrite pas, il ne médite pas le mal,
il ne se réjouit pas de l’injustice, mais il se réjouit de la vérité,
 il pardonne tout, il croit tout, il espère tout,
il supporte tout.

L’amour ne succombe jamais.
Que ce soient les prophéties, elles seront abolies ;
les langues, elles cesseront ; la connaissance, elle sera abolie.
 Car c’est partiellement que nous prophétisons ;
mais quand ce qui est parfait sera venu, ce qui est partiel sera aboli.

 trois choses demeurent :
la foi, l’espérance, l’amour ;
 mais la plus grande, c’est l’amour.

Recherchez l’amour

28 mai 2006 7 28 /05 /mai /2006 07:13


Maman

À toi, je confie mon cœur et mon amour,
À toi j’offre les fleurs de mon paradis,
Mon petit capricorne…
Ah !!! il est vrai, que tes yeux reflètent la soie
De tes bras.
Mais, où sont-ils, un week-end par mois ?
Quand tu n’es pas là ?
Aucun autre bras, ne sont adaptés à Moi…
À mon amour,
Pour toujours,
À ma Maman chérie…

yahel

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27 mai 2006 6 27 /05 /mai /2006 11:32

Les âmes fortes ne sont ni jalouses, ni craintives,
la jalousie est un doute,
la crainte une petitesse.

Toujours à ses côtés et pourtant solitaire,
mon âme a ses secrets,
ma vie a ses mystères.

Retire-toi dans Toi,
parais moins et sois plus.

Dans chaque vie,
dans chaque coeur,
un jour, parfois la durée
d'un instant,
résonne la douleur du monde.


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27 mai 2006 6 27 /05 /mai /2006 11:00
    Jésus disait : « il y a beaucoup d’appelés, mais peu d’élus »

    En effet, tant que l’égo, le mental, n’est pas vaincu, nous ne faisons partie que des appelés et s’il était facile de vaincre le mental tous les appelés seraient des élus.
    Seul, le chercheur sincère peut trouver sa voie, il écoutera, mais il sentira avec son âme, avec tout son être le mensonge ou la vérité. Le vrai chercheur, même s’il n’est pas encore libéré de son mental laisse une porte ouverte à sa conscience.

    Beaucoup par peur du ridicule n’osent poser des questions, aussi ne comprennent-ils qu’à moitié ou pas du tout. Le chercheur, cherche à comprendre le pourquoi des choses, il se rebelle quelquefois car il ne comprend pas, il doute, il tempeste, puis enfin, voit une parcelle de la vérité se « découvrir » devant ses yeux.

    Il ne suffit pas de dire «j’accepte d’être un disciple » pour être un disciple.
    Le disciple cherche, expérimente, assimile, digère la connaissance… S’il suffisait de se dire disciple pour parvenir à la vérité, alors tous ceux qui écoutent l’enseignement seraient aussi de futurs élus.
    Souvent le mental bloque, peur du ridicule, croire que l’on sait, croire que l’on n’a pas besoin d’enseignement, croire que l’on est réalisé… Le vrai chercheur ne dit pas à la fin d’un enseignement «, ‘ j’ai tout compris ». Chacun a droit à prendre son temps de réflexion, mais affirmer sans cesse ou se taire chaque fois, signifie que l’humain en question ne fait que peu de progrès. Le vrai chercheur ne peut pas s’accommoder d’à peu près, le vrai chercheur écoute, et surtout accepte de savoir qu’il ne sait rien…

    Je pense que le vrai danger sur la voie, c'est de croire que l'on sait...
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26 mai 2006 5 26 /05 /mai /2006 07:17


A TOI...

Un sourire sur tes lèvres
Le soleil jouant dans tes cheveux,
Je pense… Je suis Ta mère,
Tu es là… Merci mon Dieu.

Un sourire sur tes lèvres
Efface les souvenirs malheureux
Je suis Ta mère, j’en suis fière
Même le cœur douloureux.

Un sourire sur tes lèvres
Le soleil brille chez nous
Qu’il est doux d’être Ta mère
Tout resplendit autour de nous.

Un sourire dans Ton cœur
Je le sais, je suis heureuse
Pour Toi, tout le bonheur
Je veux, Douce rêveuse…

Ta Présence est un Rose,
Qui embaume ma vie,
Je ne peux être morose,
Quand Toi, Tu  me souris

Que cette année...
Soit douce et prospère
Que le chemin de ta vie
Soit éclairé par l'Amour
Celui que Tu donnes
Et celui que Tu reçois...



Aditi

                                                   

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25 mai 2006 4 25 /05 /mai /2006 08:44
Tu demeures dans la grotte de mon cœur
Doux mystère de l’incarnation,
Ta voix est douce et mélodieuse
Tu me chantes des louanges
Pour que mon âme s’éveille
Au son mystique du silence

Tu joues dans la grotte de mon cœur
À satisfaire mes petits désirs
M’avertissant qu’ils peuvent m’asservir
Et tout à ce jeu, j’oublie
J’oublie parfois, Ton inconditionnel amour
Mais Tu continues à chanter

Tu me bénis chaque jour,
Tu m’as donné la garde de belles âmes
Tu m’as  fait rencontrer la noblesse
Spirituelle pour m’enseigner
Sur ce périlleux chemin,
Sans eux, je n’aurais abouti.

Tu es mon essence,
Tu es ma fragrance,
Tu es ma lumière,
Tu es mon souffle,
Tu es mon sang
Tu es ma sève

Sans qui, je ne peux vivre,
Tu m’a donné la vie
Et je la transmets
Pour t’honorer,
Toi,
L’innommable,
Toi
L’insondable
Toi,
L’incomparable…

Je veille, afin d’être là
Lorsque tu m’appelles
Attentive à ton amour
Dont je ne peux me passer
Tu es le centre
De ma vie.

Ceux qui n’ont pas entendu
Ton murmure
Ne peuvent savoir
Comme il est doux,
Mais pour moi,
Tu chantes.

Et je t’entends,
Et je te dis et redis
Je t’aime…
Ta présence m’est indispensable
Je ne suis rien sans Toi
Je mourrai sans Toi.

Ma joie est la Tienne
Mon souffle est le Tien,
Mon regard est le Tien,
Ma voix est ta voix
Mon sang est Ton sang

Rien ne m’appartient,
Rien n’est « moi »
Tout T’appartient,
Tout est Toi
Toi, Toi,
Rien que Toi.

Ascension 2006 25/6/

Je ne cesserai d’écrire tant ta présence est palpable, les vagues d’amour qui déferlent dans mon être, balaient tout
Je ne suis qu’Amour, en cet instant….merci d'être venu vers "moi"...
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24 mai 2006 3 24 /05 /mai /2006 08:26
Je viens de retrouver une pensée de Goêthe que j'avais noté en 1972... 

Je vous en reparlerai plus tard... expérience de mort,   expérience de vie,...



    L'image touchante de la mort, ne s'offre pas à l'homme sage, comme un objet d'effroi, ni à l'homme pieux, comme un dernier derme.

    Elle ramène le premier à l'étude de la vie, et lui apprend à en profiter,
    Elle présente au second un avenir de bonheur, elle lui donne l'espérance au milieu de ses jours de tristesse.

    Pour l'un et l'autre la mort devient la vie.

GOETHE
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24 mai 2006 3 24 /05 /mai /2006 05:33

Quand ces dualités n’existent plus,
l’Advaïta lui-même ne peut pas exister.

Et dans l’Absolu, au-delà de tout ce qui est séparé,
 il n’y a ni règles, ni lois, ni descriptions.

 

C’est seulement ici et maintenant que toutes tes luttes peuvent être calmées, tes doutes et ton indécision dissipées, et qu’une vie libérée devient possible.
Et à chaque moment, tu es libre de ton esclavage;
 tu n’es attaché à rien et rien ne s’attache à toi.
 Tout devient clair, vide, et lumineux en soi,
sans aucun effort de ton mental.

 

Quand viennent des doutes, relies-toi simplement à ce « non-deux » et tu couleras directement dans l’harmonie avec cette réalité.
Dans ce « non-deux », toi et tout n’êtes plus séparés,
toi et tout n’êtes plus exclus.

Peu importe quand et peu importe où,
 être libéré signifie entrer dans cette vérité.

Et dans cette vérité, il n’y a ni temps, ni espace, ni différentiation;
un seul moment est infini.

 

Il y a de la confusion en toi et de la confusion à l’extérieur de toi et pourtant l’univers est toujours juste en face de toi.
 Quand tu ne te défini plus et quand tes frontières auto construites disparaissent,
 l’univers est à la fois infiniment grand et infiniment petit;
 il n’y a pas de différence.

 

Il en est aussi ainsi avec être et non-être.

Arrêtes de maintenir les doutes et les discussions
qui n’ont rien à voir avec cette réalité:

 

Tout est l’Un, et l’Un est en tout;
pas de frontières excepté celles créées par ton mental.

Si tu peux réaliser seulement cela,
tu ne t’inquiéteras plus de tes non-perfections,
ni de celles du monde.

 

Vivre avec cette conviction est la voie de la non-dualité,
car le non-duel est déjà unifié par le mental qui fait confiance à la Voie.

 

Mots !

La Voie est au-delà de tout langage,
car dans la Voie,
il n’y a ni passé
ni futur
ni présent.


 

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23 mai 2006 2 23 /05 /mai /2006 17:49

À travers ces quelques mots, s’échappant de ma pensée et rendus immortels grâce à ma plume, j’aurais voulu vous dire ... des mots, des mots qui veulent tout dire ou peut-être ne rien dire.

À vous de le découvrir ?

Découvrir l’abîme de mon âme, sa solitude, sa crainte, sa peur, sa haine, son mensonge, le désespoir, la mort ou la vie, son émoi, sa joie, son amour, son espoir montant comme l’aiguille déchirant les cieux de sa cime pointue, s’installant au-dessus de tout, bravant les vents et les tempêtes, le soleil, le temps et les âges.

Quelle est l’intensité de ces mots ?
Quel est leur message ?
Pour savoir, il vous faut chers amis, un peu d’imagination.
L’imagination d’un poète, d’un fou ou d’un sage.

Le sage ne verra rien d’autre que du papier noirci par ma plume…
Le fou ne verra que ma folie…
Mais c’est au poète, à l’âme sensible, vibrante qu’appartiennent mes pensées, car il voit et sent avec le cœur…

Ml 1979
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23 mai 2006 2 23 /05 /mai /2006 11:00

Le labyrinthe symbolise, dans un espace restreint, le long et difficile chemin de l'initiation.
D'une façon générale, le labyrinthe représente le voyage psychique et spirituel
que l'homme doit accomplir à l'intérieur de lui-même, à travers les épreuves et tous les motifs d'égarement, afin de trouver son propre centre, l'image de son Soi.
Alors, le coeur du labyrinthe est souvent vide, de sorte que le centre est à la fois la plénitude et le vide.

En Orient, selon le degré d'initiation auquel on se trouve, le centre du mandala contient différents symboles.

Selon C.G.Jung (1875-1961), par la contemplation et la concentration,
le mandala a pour fonction d'attirer intuitivement l'attention sur certains éléments spirituels afin de favoriser leur intégration consciente dans la personalité.
Jung avait relevé que l'inconscient dans ses périodes de trouble, peut produire spontanément des mandalas.
Pour lui, le mandala symbolise, après la traversée de phases chaotiques, la descente et le mouvement de la psyché vers le noyau spirituel de l'être, vers le Soi, aboutissant à la réconciliation intérieure et à une nouvelle intégrité de l'être.

L'essentiel est que le mandala opère, qu'il agisse sur les ingrédients subtils de la conscience! On dit que les adeptes les plus aboutis n'ont besoin, pour méditer, ni de couleurs, ni de poudres ; d'aucunes matière sinon de la texture, adamantine certes, de l'esprit.
Leurs mandalas sont des visions, des bâtisses intérieures que seule l'intensité de leur concentration colore.
 
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23 mai 2006 2 23 /05 /mai /2006 05:17
Juger soi-même et l’autre te laisse seulement confus et las à l’intérieur.
Aucun bénéfice ne peut découler de constants jugements et séparations.
 
Vivre librement dans la non-dualité, c’est tout accepter comme indiscernable,
même le monde des sens et des idées.
Tout accepter complètement, totalement, est
la véritable libération.
 
L’homme sage ne fait aucun effort pour faire quoi que ce soit,
mais l’homme insensé s’attache au ‘faire’.
Il n’y a qu’une vérité, Un Goût, et non plusieurs;
ta séparation provient des attachements et des jugements.
 
Chercher le non-mental de la libération avec le mental de l’identité est la plus
grande des erreurs.
Les opposés proviennent des illusions dans ton mental; avec la libération, il
n’y a pas d’opposés – pas : aimer ceci et détester cela.
 
Toutes les formes de dualité proviennent des frontières illusoires créées à
l’intérieur de ton mental.
Ils sont comme des rêves, des hallucinations, des fantômes dans les airs,
 et il est insensé d’essayer de s’y accrocher.
Gain et perte, vrai et faux,
tu dois éliminer ces pensées maintenant,
 une fois pour toutes.
 
Si tu cessais de dormir, il n’y aurait plus de rêves.
De la même façon, si ton mental cessait toute distinction,
 alors toutes les choses sont vues telles qu’elles sont :
la réalité fondamentale.
 
Si tu comprends le mystère de ce qui est “non-deux”,
 tu seras délivré de tout esclavage.
Lorsque tu peux voir toutes choses comme égales,
 sans distinction, tu as atteint
ta vraie nature.
 
Aucune comparaison, aucune analogie ne sont possibles
dans cet état sans cause et sans finalité.
Penses attentivement au mouvement qui existe dans le calme et au calme qui
existe dans le mouvement, et mouvement et calme disparaissent tous deux.
 
à suivre
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