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Un Maître se promenait avec un disciple. En chemin, il lui désigna une plante et lui demanda s'il en connaissait le nom.
- La belladone, répondit le disciple. Elle peut tuer celui qui en mange les feuilles.
-Oui, mais elle ne peut tuer celui qui se contente de l'observer, réliqua le Maître.
De même les désirs négatifs ne peuvent causer aucun mal si vous ne vous laissez pas séduire par eux.

c'est l'importance que l'on donne à la pensée négative qui peut nous nuire... l'observation la laisse passer.
 

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L'AMOUR...

OM NAMO BAGHAVATE VASU DEVAYA




Quand je parlerais les langues des hommes et des anges,
si je n’ai pas l’amour,
je suis du bronze qui résonne ou une cymbale qui retentit.

Quand j’aurais le don de prophétie,
la science de tous les mystères
et toute la connaissance
quand j’aurais même toute la foi
jusqu’à transporter des montagnes,
si je n’ai pas l’amour,
je ne suis rien.


Et quand je distribuerais tous mes biens pour la nourriture des pauvres,
 quand je livrerais même mon corps pour être brûlé,
 si je n’ai pas l’amour,
cela ne me sert à rien.

L’amour est patient, l’amour est serviable, il n’est pas envieux ;
 l’amour ne se vante pas,
il ne s’enfle pas d’orgueil,
il ne fait rien de malhonnête,
il ne cherche pas son intérêt,
 il ne s’irrite pas, il ne médite pas le mal,
il ne se réjouit pas de l’injustice, mais il se réjouit de la vérité,
 il pardonne tout, il croit tout, il espère tout,
il supporte tout.

L’amour ne succombe jamais.
Que ce soient les prophéties, elles seront abolies ;
les langues, elles cesseront ; la connaissance, elle sera abolie.
 Car c’est partiellement que nous prophétisons ;
mais quand ce qui est parfait sera venu, ce qui est partiel sera aboli.

 trois choses demeurent :
la foi, l’espérance, l’amour ;
 mais la plus grande, c’est l’amour.

Recherchez l’amour

27 mai 2007 7 27 /05 /mai /2007 17:08
    La matinée était un rossignol et toute la vallée était de nombreuses alouettes. Médina Runda était comme ne fourmilière de chaux au milieu des montagnes.

    Abul-Beka s'assit au centre de la Place des Noyers et nombreux étaient ceuxw qui venaient vers Lui pour apaiser leur soif de quête. Il leur parlait ainsi :
    "Lorsqu'une période culmine, tout s'endort, car chaque civilisation a son trajet et sa mission. Elle possède aussi des moyens pour subsister, mais sa fin est marquée par l'abus des moyens et la manière de les utiliser.
    A la surface du monde, de nombreuses civilisations ont existé qui ont purifié les races et l'Ecole du Monde. Mais elles sont comme des êtres qui naissent, vivent et meurent dans la Rivière du temps.
    Je vous dis, en vérité, qu'une civilisation est pleine d'une même génération d'esprits et qu'eux mêmes récoltent à la fin ce qu'ils y semèrent depuis le commencement.
    Ne vous affligez point et ne dites donc pas : "Qu'est-ce donc qui nous attriste et altère notre vie?"     Ce n'est que le fuit de l'arbre que nous semons tous.  Ce fruit est amer s'il n'a pas été semé avec Amour, soigné avec attention et endigué par la Joie.
    Si vous devez vivre dans un champ et que tous le sjours vous prenez ses fruits, oubliant de les replanter, vous captez sa fécondité mais vous oubliez de la prolonger et de la maintenir.
    Vous prenez et ne donnez pas et si vous le faites c'est pour semer des herbes qui détruisent plus qu'elles ne vivifient. Pourquoi vous plaindrez-vous, fils de l'homme, quand il ne donnera plus de fruit?                 Comment oserez-vous pleurer et demander au Ciel de ne pas récolter le fruit de l'abandon que vous avez semé?
    Si vous polluez ses eaux, espérez-vous que par miracle elles ne soient toutes un jour contaminées?
    Si vous polluez l'air, espérez-vous le miracle qui empêchera vos poitrines d'être contaminées?
    Si vous polluez votre ambiance par des pensées malsaines, comment demandez-vous que tout soit bon et que la Paix et l'Amour emplissent la terre?

Ainsi, je vous dis :

"Semez et vous récolterez. Semez bien et vous récolterez le Bien."
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14 janvier 2007 7 14 /01 /janvier /2007 06:28


Comme les figuiers sur les chemins, comme les peupliers qui se mirent ensemble dans la rivière, comme les amandiers de la vallée d’Abdalajis lorsqu’ils s’habillent de blanc au printemps, comme les couchers de soleil, ainsi est la quiétude du Maître.

Des parents qui venaient avec leurs enfants, lui demandèrent :
« Parle-nous des enfants. »
Lui s’assit à l’ombre des peupliers au détour du chemin, puis les invita tous à s’asseoir et leur dit :

« Les enfants sont l’espoir matérialisé d’une nouvelle génération. Ils sont la nouvelle impulsion des générations pour grimper plus haut dans l’Evolution. Ils sont comme les fleurs précoces qui cherchent dans l’allégresse le chemin vers le Soleil, fait de sincérité et de tendresse.
Comme le lierre attend l’humidité du soir, ils guettent la compréhension.

L’enfant est une graine que les mains des parents doivent semer avec tendresse dans la terre des circonstances, sans lui retirer l’aliment de
« l’explication ».


Je vous dirai :

« Apprenez à être les frères en âge de vos enfants ; ils vous enseigneront un monde qui s’est endormi en vous car vous n’avez su le retenir. Ils ne peuvent grimper jusqu’à vous, mais vous pouvez descendre jusqu’à eux pour les aider à fleurir. Avec quelle délicatesse prendrez-vous soin du jardin de leurs sentiments pour qu’ils ne se fanent pas ? Avec quelle attention serez-vous leur haleine sans les étouffer !

Un homme, n’est-il pas l’éducation d’un enfant ? Combien d’hommes existent chez qui « l’éducation » tua l’enfant ! Combien baillonnent chaque jour la bouche de leur enfant intérieur, puis donnent la main à l’hypocrisie et ses amies mensonge et apparence ?

L’éducation n’est-elle pas devenue la science d’apprendre à feindre ?

Ainsi l’homme, arrivé à un certain âge, possède un peu de tout sauf de lui-même. Cela génère un monde extérieur factice et apparent, empreint de formalismes et de complexes, à l’opposé du Naturel.

La mère-fleur fécondée par le pollen, se sacrifie, s’effeuille et se fane pour donner le fuit, son enfant ; elle fait tout cela dans le silence de son cœur. Ainsi la mère doit-elle se sacrifier pour ses enfants et les conduire sur le chemin de l’aube avec la tendresse et la chaleur qu’elle seule peut leur donner.

Toute civilisation commence à décliner quand la femme oublie qu’elle est Mère. Les générations qui naîtront d’elle ne seront plus équilibrées et les fruits que son ventre apportera, quelle protection trouveront-ils ? »

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19 août 2006 6 19 /08 /août /2006 10:46

    Un matin du mois de Véadar, alors que la lune était en plein ciel, le Poète vint avec quelques-uns de ses frères, au souk de Medina Runda. Il aimait regarder les ventes et les couleurs vives des fruits mûris par la mort.
    Jaïda, sa sœur, venait avec eux. Arrivant devant un groupe, ils virent des personnes discuter, les auras allumées de colère et les yeux emplis de haine.
    Alors Jaïda, regarda d’un air suppliant Abul-Beka et le pria :
« Dis-nous, quel esprit immonde pénètre les hommes pour qu’ils se battent entre eux, se tuant même pour des choses vaines ? »

    Tout en elle était douleur, même le fil de sa voix. Le poète la regarda avec tristesse et lui dit : « les discussions des hommes naissent des paroles car les paroles confondent et leurs termes séparent. Si, dès qu’elles sortent de leurs bouches, elles altèrent déjà leurs pensées, comment parviendront-elles à l’oreille de celui qui les écoute ? Encore plus : comment entreront-elles dans son cœur ?

    Je te dis en vérité que beaucoup d’hommes discutent avec la même idée mais avec des paroles différentes. Savoir entendre n’est pas se faire une idée de ce que dit celui qui parle, mais le sentir et fraterniser avec lui.

    Du sentiment naît l’Amour et de lui naît le dialogue.
    Ne prêtez pas trop d’attention aux paroles car ce sont des armes à double tranchant. Ne regardez pas trop le nom que l’on donne aux choses, car il sépare au lieu d’unir.
Regardez le vent, n’est-il pas UN ? Pourtant, combien de noms a-t-il ?
Si vous entendez quelqu’un dire noir, et un autre vert et troisième jaune, sachez que tous ont raison car chaque couleur n’est qu’un fragment de l’Arc en Ciel de la Vie. À vous de le transcender »
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15 août 2006 2 15 /08 /août /2006 05:46
    Il se trouvait parmi eux lorsque sa mère vint lui disant :
    "Mon fils, la paix qui habite ton coeur est la meilleure boisson que boivent mes lèvres et la lueur qui brille dans tes yeux illumine aussi mon coeur lorsque je te contemple. Depuis fort longtemps, tu n'es pas venu dans ma maison qui est ta maison, et tu n'as pas parlé à ta mère".

    Il la regarda tendrement, l'assit à ses côtés et leur dit à tous :
    "Vous ne pourrez jamais trouver en ce monde d'être plus proche de vous-mêmes que votre mère.
    Il en sera ainsi même si vous refusez de la regarder ou de la reconnaître quand les voiles obscurs des circonstances auront couvert les yeux de votre coeur.
    Quelle mère ne s'est pas privée de nourriture pour que vous mangiez? Quelle mère ne s'est pas lavée pour que vous soyez propres? Quelle mère n'a pas souffert pour vos peines avant même qu'elles ne fussent semées en vos coeurs et répandues en vos poitrines?
    Combien de fois n'avons-nous pas trouvé appui sur ses mains pour nous envoler! Et combien d'autres fois avons-nous vu entre ses mains les premières étoiles?
    Donner à notre mère est comme offrir à la vie car elle fut don pour nous et grâce à son ventre nous sommes dans la Grande Ecole de ce monde.
    Ingrats seraient ceux qui ne mettraient pas une couronne de fleurs sur sa tête, une fleur de paix sur son coeur et un sourire de joie sur ses lèvres."

    Puis, regardant sa mère, Il lui parla ainsi:
    "Ne m'oblige pas à être là où je suis déjà. Ne me demande pas de revenir en arrière. Viens avec moi et cheminons vers l'avant. Je suis ton prolongement dans le futur et tu es mon soutien dans le passé. Mais que sont le passé et le futur dans l'Eternel Présent où demeurent nos esprits, où les âmes s'habillent et se dévêtissent?
    J'ai pris hier un morceau de ton habit pour me couvrir et pouvoir ainsi parler aujourd'hui couvrant les autres par mes paroles. Grâce à toi, la nature abrite l'esprit pour que la Lumière puisse travailler sur Terre, la modeler, lui donner forme, l'élever, la transmuter et lui donner des ailes..."




    C'est aujourd'hui la fête de Marie, et de toutes les Marie du monde... c'est la fête de ma mère... et bien qu'elle ne soit plus de ce monde elle continue à vivre dans mon coeur... Je lui dédie ces paroles car même si ce n'est pas mon esprit qui les a concoctées elles sont un échos à mon amour pour elle. Serai-je en ce monde sans son amour? sans son réconfort? Serai-je devenue ce que je suis sans elle...
    Sainte Marie, mère de Dieu... était une mère, son ventre a abrité, Jésus... et  toutes les mères des Maîtres du passé, du présent et de l'avenir, ont eu, ont et auront la tâche de les faire grandir... de les aimer, et de les guider dans leur jeune âge...

    La mère est celle qui donne sans rien attendre...

    "vous avez tous été au cours de vos vies succéssives mère, père, fils, fille, frère, soeur etc..." aussi est-ce une façon en ce jour de vous offrir à tous ces quelques lignes... pour ce que vous avez été... même si vous n'en n'avez pas le souvenir... qu'importe après tout... et même si les Maîtres nous disaient simplement cela pour nous faire plaisir... pourquoi ne pas se comporter comme si le monde entier était notre enfant... car au-delà de toutes les difficultés humaines que nous pouvons rencontrer, aujourd'hui est la fête de l'Amour maternel...

Bonne journée...
Aditi


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