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Un Maître se promenait avec un disciple. En chemin, il lui désigna une plante et lui demanda s'il en connaissait le nom.
- La belladone, répondit le disciple. Elle peut tuer celui qui en mange les feuilles.
-Oui, mais elle ne peut tuer celui qui se contente de l'observer, réliqua le Maître.
De même les désirs négatifs ne peuvent causer aucun mal si vous ne vous laissez pas séduire par eux.

c'est l'importance que l'on donne à la pensée négative qui peut nous nuire... l'observation la laisse passer.
 

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L'AMOUR...

OM NAMO BAGHAVATE VASU DEVAYA




Quand je parlerais les langues des hommes et des anges,
si je n’ai pas l’amour,
je suis du bronze qui résonne ou une cymbale qui retentit.

Quand j’aurais le don de prophétie,
la science de tous les mystères
et toute la connaissance
quand j’aurais même toute la foi
jusqu’à transporter des montagnes,
si je n’ai pas l’amour,
je ne suis rien.


Et quand je distribuerais tous mes biens pour la nourriture des pauvres,
 quand je livrerais même mon corps pour être brûlé,
 si je n’ai pas l’amour,
cela ne me sert à rien.

L’amour est patient, l’amour est serviable, il n’est pas envieux ;
 l’amour ne se vante pas,
il ne s’enfle pas d’orgueil,
il ne fait rien de malhonnête,
il ne cherche pas son intérêt,
 il ne s’irrite pas, il ne médite pas le mal,
il ne se réjouit pas de l’injustice, mais il se réjouit de la vérité,
 il pardonne tout, il croit tout, il espère tout,
il supporte tout.

L’amour ne succombe jamais.
Que ce soient les prophéties, elles seront abolies ;
les langues, elles cesseront ; la connaissance, elle sera abolie.
 Car c’est partiellement que nous prophétisons ;
mais quand ce qui est parfait sera venu, ce qui est partiel sera aboli.

 trois choses demeurent :
la foi, l’espérance, l’amour ;
 mais la plus grande, c’est l’amour.

Recherchez l’amour

23 mai 2006 2 23 /05 /mai /2006 17:49

À travers ces quelques mots, s’échappant de ma pensée et rendus immortels grâce à ma plume, j’aurais voulu vous dire ... des mots, des mots qui veulent tout dire ou peut-être ne rien dire.

À vous de le découvrir ?

Découvrir l’abîme de mon âme, sa solitude, sa crainte, sa peur, sa haine, son mensonge, le désespoir, la mort ou la vie, son émoi, sa joie, son amour, son espoir montant comme l’aiguille déchirant les cieux de sa cime pointue, s’installant au-dessus de tout, bravant les vents et les tempêtes, le soleil, le temps et les âges.

Quelle est l’intensité de ces mots ?
Quel est leur message ?
Pour savoir, il vous faut chers amis, un peu d’imagination.
L’imagination d’un poète, d’un fou ou d’un sage.

Le sage ne verra rien d’autre que du papier noirci par ma plume…
Le fou ne verra que ma folie…
Mais c’est au poète, à l’âme sensible, vibrante qu’appartiennent mes pensées, car il voit et sent avec le cœur…

Ml 1979
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22 mai 2006 1 22 /05 /mai /2006 18:50
     

Tant de temps, perdu à te chercher,
Chercher, pleurer sur des amours perdus,
Dans le regard d’un passant,
En écoutant chanter l’oiseau…
Partout, dans mon immense solitude
Ou le vacarme de la rue,
Je T’ai cherché.

Dans une main, posée sur la mienne,
Dans un idéal de rêve et de beauté.
Combien de fois me suis-je trempée ?
Combien de vois, ai-je cru te tenir ?
Et combien de larmes versées
Par mon cœur blessé,
Blessé dans l’amitié, dans l’amour,
Blessé, toujours, car cherchant dans l’autre
Ma Vérité.

Le jour où je T’ai enfin aperçu,
J’ai cru rêver…

Tu étais là, solide comme un roc, si près de moi,
Et j’avais passé tant de temps à te chercher,
Ailleurs…

Tu étais là, silencieux, attendant le moment,
Où j’entendrais Ta voix aimée,
Ta patience n’a d’égale que ton Amour
Amour que tu donnes à chacun…

Comment ai-je pu être aussi ignorante
Pour occulter Ton existence?

Aujourd’hui…
Je T’ai construit un nid,
Où tu loges,
Et où, dans les moments où mon esprit s’égare,
Je me réfugie et trouve toujours

Ta Présence.

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19 mai 2006 5 19 /05 /mai /2006 05:15



Mon âme vagabonde, au gré du flocon léger
Qui vole et virevolte
Devant mes yeux étonnés et ravis…

Que deviennent ces corps désintégrés,
Quand, brusquement, jetés sur la terre dure et froide,
Elle les engloutis ?

Quelle est leur souffrance,
Leurs cris, soupirs et pleurs, à nous cachés ?
Comment comprendre et prendre part à
Leur détresse et leurs appels désespérés ?

Un homme passe…

Comment ?
Nous, dont les oreilles sont sourdes aux appels
Et nos yeux aveugles à la souffrance humaine…

Un homme passe…

Imperturbable, insensible, humain pauvre
Dont le cœur est sec…
Tu marches, tête haute, avec une lueur méprisante
Dans tes yeux…
Qu’est pour toi, la Création ?

Rien, tu ne vois, rien…
Triste ou joyeux,
Laid ou beau,
Tout t’est indifférent…

Un sourire, une main tendue… pas grand chose !...
Cela n’appauvrira pas ton bas de laine,
Si vide des choses de la Vie,
Et pourtant,
Un peu de bonheur tu sèmeras
Sur ton passage.

Cette parcelle de Ciel,
Que tu auras, à l’autre, dévoilée
Enrichira, réjouira ton âme,
Réchauffera ton cœur blasé,
Ton cœur de glace…

ML.1981

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13 mai 2006 6 13 /05 /mai /2006 05:35

C'est un poème que j'ai écrit en 1979...    et qui, comme bien d'autres, dormaient... J'aime bien les relire et vous les faire partager. Ainsi je partage avec vous, mon chemin, qui ne fut pas facile mais ce qui est le plus important, ce sont ces difficultés qui nous font grandir, qui nous révèlent à nous-même, nous forgent et nous donnet les solutions...
Même avec toutes les difficultés que j'ai dues rencontrées, j'ai toujours regardé ma vie comme une suite de miracles.


... Je suis là, seule, regardant l'eau se mouvoir dans cette immensité qu'est la mer...
... J'entends le vacarme des vagues qui se brisent et meurent sur les rochers...
... comme une musique qui berce ma peine...

...Je  rêve...
Cette immensité contient tant de trésors

J’ai peur de la mouvance de la mer
Et pourtant je l’aime, c’est ma seule amie
Dans les moments de grande tristesse
C'est TOI que je cherche

J’ai peur du silence
Et pourtant je m’y enferme
Pour n’être qu’avec moi,
Me trouver
Et c'est vers TOI que je viens

J’ai peur de la nuit
Et je l’aime car elle révèle la beauté
J’ai peur de l’inconnu
Et je cherche à découvrir son mystère,
Dans mes peurs,
C'est encore TOI que je cherche

J’ai peur de l’Homme
Et j’aime sa compagnie
J’ai peur de la forêt, son immensité
Et pourtant, j’aime m’y promener,
Entendre l’arbre gémir,
L’oiseau chanter
L’écureuil détaler en haut du chêne
Dans toute vie,
C'est TOI que je vois

Ma vie est comme la mer,
Pleine de remous et de tourbillons,
De gouffres et d’abîmes,
D’inconnus et d’énigmes.
Elle me révèle
Mes peurs secrètes...

J’ai peur lorsqu’elle est en colère
Noire, avec son écume
Mais toujours je recherche sa compagnie
Elle me berce
Elle est la complice de mes joies et mes peines
J’en ai fait le témoin de mon bonheur
Elle connaît tout de moi,
Les tourments, les espoirs,
Les joies
Tout comme TOI

Car au milieu de ce vacarme infernal
Le Silence s’installe
Alors, m’abandonnant à l’instant
S’envolent les tourments
Et Tu viens
Tu es là, tout près
Toi que je cherche sans cesse
En tout et partout
Pour te dire mon Amour
Chanter tes louanges
M’unir pour l’Eternité
À Ton NOM

ML - 20/10/79 
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13 mai 2006 6 13 /05 /mai /2006 05:13
HAPPY BIRTHDAY…


Aujourd’hui mon Maître a 50 ans…
Sur cette terre, bien sûr…
Et dans ce corps.

Je voudrais exprimer ma gratitude
Et mon amour inconditionnel.

Il a connu Yahel, bébé
L’a laissé le coiffer…
L’a prise sur ses genoux…
S’est promené avec elle
En lui tenant la main…

Puis se fut autour de Sarah…
Sabine était déjà grande…

Il était là pour les joies…
Il a été là aussi pour les peines…
Pour ma mère…
Au mois d’avril,
Il est venu vers Elle
Et lui a donné une rose…
Elle était déjà très malade…

Il a tissé un lien d’amour
Avec celle qui m’a donné la vie.

Lorsqu’elle était malade,
Ne pouvant plus se lever,
J’avais posé dans sa chambre
Une photo de Lui…

Souvent elle somnolait.
Et lorsqu’elle s’éveillait,
Elle me disait :
« Lui, c’est mon ami,
Il vient et me lit des livres,
Il me dit que c’est important,
C’est beau, tu sais. »

Et deux jours avant sa mort
Après avoir passé un long moment
Dans un autre monde…
Elle revint à Elle et me dit :

Il m’a pris la main
Et m’a emmenée là-haut.
Là, Ils ont ouvert un livre
Et m’ont fait lire ce qui était écrit

« L’IMPORTANT C’EST D’AIMER »

Puis Ils m’ont dit de venir te dire…

« Vois-tu, l’important, c’est d’aimer, peu importent ceux qui t’ont fait ou te font du mal, te disent ou pensent des choses méchantes…
Crois-moi, ils ne le font pas exprès, c’est parce qu’ils ne savent pas ce qu’ils font, ils sont ignorants, mais personne n’est vraiment méchant…
Tu dois leur pardonner, tu peux leur parler, leur expliquer, mais au bout d’un certain temps,
S’ils sont toujours aussi méchants, alors,
Passe ton chemin,
Cela ne sert à rien de se fâcher…
Comme ça, tu seras toujours en paix.
Fais toujours ce que tu dois,
Ne t’occupes pas de l’opinion des autres.

L’IMPORTANT C’EST D’AIMER.



ADITI
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28 avril 2006 5 28 /04 /avril /2006 17:27

La rose des vents,
Poussée par le vent,
Au soleil levant,
Élargie ses pétales,
Roses et raffinées,
D'Or et de marbre,
Pour délivrer l'arôme,
Qu'embaume ton parfum,
Si délicat.
L'horizon,
Qui sans raison
Arrose tes yeux de calme et de charme,                                               
La mer,
En tout autre air,
Te donne la légèreté,
Et la maternité d'une âme sourde.
Les champs chantent
De leurs frôlements incessants,
Qui donnent à ton corps
La fleur épanouie de la vie.                                

Pour Maman
 

(écrit par YAHEL 10 ans)
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22 avril 2006 6 22 /04 /avril /2006 18:51



Un sourire ne coûte rien
Mais il met la joie au cœur,                         
Il enrichit celui qui le reçoit
Sans appauvrir celui qui le donne.

Il ne dure qu’un instant
Mais son souvenir est parfois éternel,
Personne n’est assez riche pour s’en passer
Personne n’est assez pauvre pour ne pas le mériter.

Il crée le bonheur au foyer,                                                
Il est le signe de l’amitié
Un sourire donne du repos à l’être fatigué,
Rend courage au plus découragé.

Il ne peut ni s’acheter, ni se prêter, ni se voler
Car c’est tune chose qui n’a de valeur
Qu’à partir du moment où il se donne
Et si quelques fois, vous rencontrez une personne
Qui ne sait plus avoir le sourire
Soyez généreux, donnez lui le vôtre.

Car nul n’a autant besoin d’un sourire
Que celui qui ne sait pas en donner aux autres.
 
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21 avril 2006 5 21 /04 /avril /2006 19:45


A LA MÈRE...  A L’ENFANT...

Elle est là, patiemment
Elle attend le moment
Où l’âme qui vole au vent léger
Viendra trouver refuge et s’incarner
Dans l’Enfant qu’elle porte.
Fruit de l’Amour.

Neuf mois d’attente,
Neuf mois de patience,
Neuf mois à façonner l’enfant
Neuf mois de prière pour l’enfant;
Fruit de l’Amour.

Pour lui, commence la lutte
Le temps est venu de naître,
Le temps est venu de vivre.
Première épreuve, la naissance
Premier cri, la souffrance,
Le froid, la faim,
Les larmes, le chagrin,
Les joies aussi
Vont peupler Sa vie.

Il naît pour mourir
Et mourra pour vivre.

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21 avril 2006 5 21 /04 /avril /2006 19:43

Jésus déverse ses larmes
Sur la terre désolée.
Les peuples apeurés
Entendent le vacarme
Du tonnerre qui gronde
L’eau ruisselle
Sur le sol rebelle
Qui rejette l’onde.
L’oiseau se cache
Sous les branchages
Il a tu son ramage.

Dieu se fâche...

Quelle merveille!
Après la pluie
L’appel de la vie
L’escargot s’éveille...
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20 avril 2006 4 20 /04 /avril /2006 08:17


Le spectre de la nuit
Rôde sur la prairie.
La lune s'est levée,
Dans le ciel étoilé.

Seul, le vent murmure
À Dame Nature,
Le secret des âmes,
Et sèche les larmes.

Dans une chaumière
Brille la lumière.
La maisonnée vit
Dans le coeur de la nuit.

Pendant que parents, enfants,
Parlent, rient joyeusement,
Devant l'âtre flamboyant
S'endort le petit enfant.

Dans son rêve joli
La lumière jaillit,
La fée Carabosse
Descends de son carrosse.

Elle avance sans bruit
Vers la petite vie
De cet enfant ravi
Tendrement endormi.

S'éteignent les lumières,
Et s'endort la chaumière.
Jésus, regarde radieux
Le monde, du haut des Cieux?

21-12-81

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