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Un Maître se promenait avec un disciple. En chemin, il lui désigna une plante et lui demanda s'il en connaissait le nom.
- La belladone, répondit le disciple. Elle peut tuer celui qui en mange les feuilles.
-Oui, mais elle ne peut tuer celui qui se contente de l'observer, réliqua le Maître.
De même les désirs négatifs ne peuvent causer aucun mal si vous ne vous laissez pas séduire par eux.

c'est l'importance que l'on donne à la pensée négative qui peut nous nuire... l'observation la laisse passer.
 

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L'AMOUR...

OM NAMO BAGHAVATE VASU DEVAYA




Quand je parlerais les langues des hommes et des anges,
si je n’ai pas l’amour,
je suis du bronze qui résonne ou une cymbale qui retentit.

Quand j’aurais le don de prophétie,
la science de tous les mystères
et toute la connaissance
quand j’aurais même toute la foi
jusqu’à transporter des montagnes,
si je n’ai pas l’amour,
je ne suis rien.


Et quand je distribuerais tous mes biens pour la nourriture des pauvres,
 quand je livrerais même mon corps pour être brûlé,
 si je n’ai pas l’amour,
cela ne me sert à rien.

L’amour est patient, l’amour est serviable, il n’est pas envieux ;
 l’amour ne se vante pas,
il ne s’enfle pas d’orgueil,
il ne fait rien de malhonnête,
il ne cherche pas son intérêt,
 il ne s’irrite pas, il ne médite pas le mal,
il ne se réjouit pas de l’injustice, mais il se réjouit de la vérité,
 il pardonne tout, il croit tout, il espère tout,
il supporte tout.

L’amour ne succombe jamais.
Que ce soient les prophéties, elles seront abolies ;
les langues, elles cesseront ; la connaissance, elle sera abolie.
 Car c’est partiellement que nous prophétisons ;
mais quand ce qui est parfait sera venu, ce qui est partiel sera aboli.

 trois choses demeurent :
la foi, l’espérance, l’amour ;
 mais la plus grande, c’est l’amour.

Recherchez l’amour

17 août 2006 4 17 /08 /août /2006 07:03
                                   





 QU'EST-CE QUE C'EST?  Un saxophoniste ou un visag
e?





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12 août 2006 6 12 /08 /août /2006 08:54
Happy birthday !! JOYEUX ANNIVERSAIRE...


voici les pensées pour cette journée... spéciale pour certains d'entre vous... aussi
(ces pensées sont tirées de différents livre de sagesse et correspondent à aujourd'hui)



Je suis fermement persuadé que le salut de l'Inde dépend de l'abnégation de ses femmes et de la lumière qu'elles nous apportent.
Gandhi


Le bonheur ne s'acquiert pas, il ne réside pas dans les apparences, chacun d'entre nous le construit à chaque instant de sa vie avec son coeur.

Ancienne du village dogon (sagesse africaine)

et de ma part, un bouquet de tendresse...
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9 août 2006 3 09 /08 /août /2006 13:31
La saleté est aussi sacrée que la propreté. Mais nous ne nettoyons pas pour le simple fait de nettoyer. C'est un moyen de pratiquer le respect envers les choses. Sinon, nous finirions par croire que tout va de soi.

En nettoyant, nous apprenons à apprécier que les choses soient là rien que pour nous - pour nous soutenir, nous encourager.

Apprécier chaque objet, c'est nous apprécier nous-mêmes.

C'est ainsi que nous développons nos relations avec notre propre personne comme avec les autres.

Puisque "tout" est semblable à "un", vous ne pourrez comprendre au plus profond cette philosophie qu'au coeur de l'action.

En faisant le ménage, vous pratiquez l'unicité.
Vous réalisez que tout contribue à vous aider.

Se désintéresser du ménage peut, à première vue, paraître un objectif désirable mais, dans ce contexte, cette attitude devient un signe de paresse et d'égoïsme, comme si l'on tentait de vivre à l'écart des choses. Le plus grand risque est de se sentir alors rejeté et sans soutien.

    * Gary Thorp - Le Zen des petits riens - Ed Anne Carrière - 2002




Quelle est la femme qui n'a pas ressenti un soulagement après avoir fait le ménage chez elle?  Mon Maître me disait : faire le ménage (physiquement) c'est aussi faire le ménage spirituellement, mettre de l'ordre c'est aussi mettre de l'ordre dans son esprit (même si cela reste inconscient), faire la vaisselle consciemment est aussi un moyen de nous laver l'esprit.  C'est même les premières choses qu'Il m'enseigna et que je mis en pratique...

Bien sûr, c'est par respect pour nous mêmes et pour toutes les personnes qui vivent avec nous, mais aussi celles qui nous rendent visite...

Aditi
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7 août 2006 1 07 /08 /août /2006 16:46
  DÉSERT DU SINAÏ... C'EST DANS CE DÉSERT QUE LES HÉBREUX ONT MARCHÉ PENDANT 40 ANS, AVANT D'ATTEINDRE LA TERRE PROMISE...




La zone des sables c'est le pays de l'initiation.
Si nul ne vous y guide, vous vous y enlisez.
S'enliser, c'est tomber dans les pièges qui parsèment la Voie.
On prend pour le but ce qui n'est qu'un leurre.
On se croit arrivé alors que l'on n'est qu'enlisé.

D'où la nécessité d'un guide sûr.

Tradition orale - Amadou Hampâté Bâ
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5 août 2006 6 05 /08 /août /2006 03:20
Me revoilà...  
Ma fille, mon mari et moi... sommes allés passer une semaine auprès de notre Maître... instants inoubliables  qui font que la vie paraît claire pendant de longs mois...
Comme toujours les satsangs étaient remplis de joie et d'amour pour tous ceux qui étaient là...
Pour ceux qui le connaissent je vais mettre des photos de ce séjour vous pourrez les télécharger si le coeur vous en dit... j'ai beaucoup pensé à vous tous qui prenez le temps de lire...
Puis, nous sommes allés voir Swami Nirgunananda qui donnait une retraite à Chardonoux, Terre du Ciel... nous sommes restés 2 jours avec lui... (il est plus facile de s'en approcher, les disciples ne sont pas encore très nombreux)...

Quelques jours très précieux que nous gardons au fond du coeur ...

à plus tard...

Aditi
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17 juillet 2006 1 17 /07 /juillet /2006 20:10

Moise et du Berger :

 Moise, au cours d’un de ses nombreux voyages à travers le désert, surprit un berger s’adressant à Dieu : « O toi qui commandes à toutes  choses, implorait le berger, j’aimerais tant devenir ton serviteur pour réparer tes sandales et coiffer tes cheveux ; baiser tes petites mains délicates et masser tes petits pieds, et balayer la poussière de ta chambre. Ô toi à qui j’offre toutes mes chèvres en sacrifice, et toi dont le souvenir est la cause de mes pleurs. »

En entendant un tel babillage, Moise réprimanda le berger et lui fit savoir qu’il faisait preuve d’infidélité en prononçant ces absurdités blasphématoires et irrespectueuses. Puis il ajouta : « Les sandales, les cheveux et de pareilles choses conviennent à quelqu’un comme toi et non à Dieu. » Il voulut éclairer le berger ignorant : « Comment de telles paroles pourraient-elles jamais convenir au Très-Haut ? Dieu n’a pas besoin de tels services. À qui donc crois-tu parler ? À quelqu’un de ta famille ? Accomplir de telles tâches peut être valable et méritoire vis-à-vis de quelqu’un comme toi, et non face à la sainteté de Dieu, qui est le Créateur et qui n’a pas été créée comme nous. Ô homme ignorant, tes pseudos prières sont irrévérencieuses et préjudiciables à la pureté de ton âme."

Lorsque le berger entendit ces reproches venant d’un prophète de Dieu,  il eut profondément honte, se repentit pour les blasphèmes qu’il avait proférés. Puis le cœur brûlant de douleur, il déchira ses vêtements et s’enfuit dans le désert.

C’est alors que Moise reçut une révélation de la part de Dieu : « Tu as éloigné de moi mon dévot ! As-tu été envoyé pour amener les hommes à l’Union, ou bien, ton but serait-il de les entraîner dans la voie de la séparation d’avec Dieu et le déséquilibre ? J’ai octroyé à chacun une façon particulière de se comporter, et une manière personnelle de s’exprimer. Ce qui, pour l’un est méritoire, peut être blâmable pour un autre. À chacun ses pratiques et ses usages. L’amour de Dieu est au-delà de toute pureté ou impureté. Je n’ai pas commandé l’adoration du divin pour en avoir un bénéfice personnel, mais mon Amour est une grâce que j’accorde à ceux qui m’aiment. Leur glorification n’ajoute rien à ma gloire ; c’est plutôt eux qui deviennent bénis et glorifiés par cette grâce. Sache que je ne regarde pas la forme extérieure des discours mais ce qu’ils recèlent à l’intérieur. Peu importe que les mots prononcés manquent de respect si le coeur est humble et pur, car le cœur est la substance qui est le seul objet de mon attention. Je désire un cœur ardent et non des mots et des concepts. Allume un feu d’amour dans ton âme, Moise, et brûle toute expression et toute pensée. Car se préoccuper de la forme extérieure des conventions et des pratiques est une chose, et faire partie de ceux dont l’être intérieur et l’esprit brûlent d’amour, en est une autre.

Le credo de l’amour, précise Roumi, est au-delà de toutes les religions. Pour les amoureux véritables, la seule religion, la seule foi est Dieu.

Moise pris de remords mais transporté hors de lui-même par Dieu qui illumina son cœur de mystères divins partit à la recherche du berger pour lui faire savoir qu’il pouvait adorer Dieu comme son cœur ardent le désirait et que son blasphème apparent était en fait une religion véritable. Quand il le retrouva et lui dit cela,  le berger s’exclama qu’il avait dépassé de telles préoccupations et qu’il baignait désormais dans l’amour divin. Le berger ajouta que le choc des reproches que Moise lui avait adressés l’avait propulsé au-delà du ciel, et qu’il avait atteint un état qu’aucun mot ne pourra jamais exprimer.

                              
  Roumi termine l’histoire en nous conseillant de ne pas oublier que l’image que l’on contemple dans un miroir n’est rien d’autre que notre propre image réfléchie dans le miroir et non l’image du miroir.

Lorsqu’il est question de Dieu, insiste Roumi, quels que soient les mots qu’on utilise pour Le glorifier, ils seront tout aussi inadéquats et peu convenables que ceux utilisés par le berger de Moise. Si nous pouvions voir les choses telles qu’elles sont en réalité, nous comprendrions immédiatement. Ainsi, se moquer ou rejeter l’adoration qu’un autre voue à Dieu, c’est faire preuve d’arrogance et  d’ignorance.

Cette histoire est remarquable en bien des points : on peut y trouver

Une description de l’essence de la quête spirituelle de l’homme. Roumi nous dit trois choses :
 D’abord, que les seules provisions nécessaires sur la voie de Dieu sont l’amour et la sincérité.
Deuxièmement, que ceux qui conçoivent la spiritualité à travers un autre chemin que l’amour, comme Moise dans cette histoire, provoquent inévitablement désordre et conflit dans le monde.

 Enfin, que le langage de l’amour est le plus profond, et beaucoup plus universel que tout autre langage connu de l’homme. Il est vrai que Moise était un prophète de Dieu,  mais même pour lui, il était indispensable d’être initié aux mystères de l’amour afin de comprendre le langage du berger.

 Mais comment atteindre un tel état d’amour? À ce sujet, les soufis ont cité le verset coranique : « Dieu aime les hommes, puis les hommes aiment Dieu

» (V :54), pour montrer que l’amour de Dieu doit toujours précéder le nôtre. Tant que Dieu n’aime pas un dévot et ne se souvient pas de lui,  il sera difficile à celui-ci de se souvenir de Dieu et de L’aimer.

 En même temps, les soufis citent la tradition sacrée qui dit : « Mon dévot se rapproche de plus en plus de moi, en se souvenant de moi,  jusqu’à ce que Je l’aime ; et quand Je l’aime, il voit avec Mes yeux, entend avec Mes oreilles, parle avec Ma langue, saisit avec Ma main et marche avec Mes pieds. »

 C’est-à-dire, bien que l’amour de Dieu doive toujours précéder le nôtre, nous devons néanmoins invoquer Son nom et nous souvenir de Lui, autant que possible, si nous voulons attirer son attention sur nous. Pour les soufis, les êtres humains apprendront en dernier lieu comment aimer, en pratiquant le souvenir de Dieu.

 Se souvenir de Dieu, c’est se détacher de son ego afin de laisser Dieu prendre possession de l’être ; se débarrasser de son égoïsme et de son égocentrisme, et servir l’humanité sans rien attendre en retour.

Malheureusement, nous vivons dans une époque où la plupart des gens se souviennent davantage des airs à la mode, des images publicitaires et des séries télévisées que de Dieu. Toutes les valeurs de nos sociétés actuelles sont au service de la promotion de l’ego et de ses idoles.
Les hommes ne sont plus des idolâtres dans le sens traditionnel du terme, mais les idoles anciennes ont simplement été remplacées par nos biens matériels et par des individus, Notre objectif n’est pas de réaliser Dieu en nous-même, d’atteindre les attributs divins, mais de satisfaire nos désirs, et d’accumuler toujours plus. Alors il n’est pas étonnant de voir la montée de conflits nationaux, régionaux et ethniques dans chaque coin du monde.

 Il est possible que, plus qu’en toute autre époque, le manque d’harmonie extérieure dans le monde reflète le manque d’harmonie intérieure en chaque individu.

 Ceci découle du désir élémentaire insatisfait des hommes qui est d’aimer et d’être aimé.
 Nous avons oublié comment aimer et nous avons perdu de vue l’Unicité de l’Existence parce que dans notre vie quotidienne nous avons oublié comment nous souvenir de Dieu.

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16 juillet 2006 7 16 /07 /juillet /2006 06:50
SOUVENT TROMPEUSES...


 
 Deux anges voyageurs s’arrêtèrent pour passer la nuit chez une famille riche. La famille a été dure et refusa aux visiteurs de coucher dans la chambre d’amis. Les anges se virent plutôt offrir un petit espace au sous-sol humide. Comme ils préparaient leur lit sur le plancher de béton, l’ange le plus âgé vit un trou dans le mur et le répara.
 
La nuit suivante les anges demeurèrent chez un couple de fermiers très pauvres mais très hospitaliers. Après avoir partagé le peu de nourriture qu’il leur restait, le couple autorisèrent les anges à coucher dans leur lit de façon à ce qu’ils puissent avoir une nuit reposante.
 
Au lever du soleil le lendemain, les anges trouvèrent le fermier et son épouse en larmes. Leur seule vache, dont le lait était leur unique revenu, était morte dans le champ.
 
 Le jeune ange était furieux et demanda au vieil ange pourquoi il avait permis ça ?

Le premier homme avait tout et tu l’as aidé.  La deuxième famille avait peu et était prête à tout partager et tu as laissé mourir leur vache.
 
“Les apparences sont souvent trompeuses,"  répliqua le vieil ange.
 
 “Quand nous sommes demeurés au sous-sol du château, j’ai remarqué qu’il y avait de l’or caché dans le trou du mur. Puisque le propriétaire était si gourmand et ne voulait pas partager sa bonne fortune, j’ai scellé le mur de façon à ce qu’il ne le trouve pas."
 
 “Puis hier soir alors que nous dormions dans le lit du fermier, l’ange de la mort est venu pour sa femme. Je lui ai plutôt donné la vache. Les apparences sont souvent trompeuses.“
 
 Parfois, c’est exactement ce qui arrive quand les choses ne se produisent pas comme elles le devraient.
 
 Si tu as la foi, tu n’as qu’à faire confiance que la solution sera à ton avantage.
 
 Tu peux ne l’apprendre que plus tard …
 
Des personnes ne font que passer dans ta vie …
 
D’autres deviennent des amis et demeurent un moment … laissant de belles images en nos cœurs …
 
Et nous ne sommes plus jamais le même parce que nous nous sommes fait un bon ami !
 
Hier est l’histoire.

 Demain est le mystère.
 
 Aujourd’hui est le cadeau. C’est pour ça qu’on l’appelle le présent !
                           
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21 juin 2006 3 21 /06 /juin /2006 07:09



     Bonjour,


    Ce matin quand Dieu a ouvert une fenêtre du ciel, il  me vit et me demanda:

    Mon enfant quel est ton plus grand voeu pour aujourd'hui?
    J'ai répondu : Seigneur, je te prie de prendre soin de la personne qui est entrain de lire ce message avec sa famille, ses amis et ses ennemis. Tu m’as toujours dit, Seigneur, qu’en fait nos ennemis étaient ceux qui nous permettent de grandir, et qu’il faut être compatissant. Merci, Mon Dieu, de me permettre de diffuser ce message.


    L'amour de Dieu est comme un océan, tu peux voir là où il commence mais jamais là où il termine.
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20 juin 2006 2 20 /06 /juin /2006 21:55


Observez le spectacle du Mental.

 Le mental est comparé à un singe qui sans cesse saute d’une branche à une autre. Les pensées vont et viennent dans le mental, sans cesse.

Ne pas juger, ni apprécier ni ne pas apprécier...
Ne pas essayer d’arrêter le film qui se déroule dans la tête
Regarder comme s’il s’agissait du trafic sur la route ou des vagues à la surface de la mer
Observer comme le mental est habile, tout ce qu’il met en œuvre pour attirer notre attention.
Apprendre à prendre de la distance par rapport à l’agitation mentale.
Alors nous pourrons prendre du recul et contempler la scène sans nous laisser piéger. Nous ne saisirons aucune pensée, nous les laisserons jouer et passer...

C’est cela la méditation


    Voyons comme nous pouvons débrouiller une situation dont nous sommes extérieurs, et être aussi aveugle quand il s’agit de nous. C’est tout simplement parce que n’étant pas impliqué émotionnellement nous avons un certain recul qui fait que nous voyons assez clairement ce qui est.

    Le regard intérieur nous fait prendre conscience du fait que nous nous sommes sans cesse laissé aiguillonner par des désirs et que nous avons couru dans tous les sens. Chaque fois nous avons été frustré.

    C’est prendre conscience que le désir engendre la souffrance, qu’il n’aboutit jamais à la plénitude.

    La pratique du regard intérieur conduit à se dé-tacher des événements, donc à se détacher de tout désir.

    Lorsque le désir n’obnubile plus notre esprit, nous sommes en paix. La découverte de notre nature profonde ne peut se faire qu’en tournant le regard vers l’intérieur.
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5 juin 2006 1 05 /06 /juin /2006 14:39

    Un homme trouva un œuf d’aigle et le déposa dans le nid d’une poule de sa basse-cour. L’aiglon vit le jour avec la couvée de poussins et grandit avec eux.
    Toute sa vie, l’aigle fit ce que faisaient les poules de la basse-cour : il grattait la terre, en quête de vers et d’insectes ; il gloussait, caquetait et battait des ailes et volait quelques pieds dans les airs, comme les poulets.

    Les années passèrent et l’aigle devint très vieux.

    Un jour, il aperçut un magnifique oiseau au-dessus de lui, très haut dans le ciel sans nuages. Il planait avec grâce et majesté dans les puissants courants d’air, en bougeant à peine ses puissantes ailes dorées.


    Le vieil aigle regardait en l’air, tout étonné.
Qui est-ce ? demanda-t-il à son voisin.
C’est l’aigle, le roi des oiseaux, dit le voisin. Mais n’y pense plus : toi et moi, nous sommes différents de lui.

    Et l’aigle n’y pensa plus. Il mourut en s’imaginant toujours qu’il était un poulet de basse-cour.



C'est ce qu'il se passe lorsque nous nous identifions au corps ou à tout autre mouvement, pays, etc... cette identification nous fait oublier que nous sommes tous issus de l'Amour Divin, et que Lui et Moi sommes UN... (aditi)

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